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Jeux d'intention

Raphaëlle Delaunay

 

Création 2004

« Jeux d’intentions, c’est la première pièce. Celle qui concentre toutes les obsessions.
Tellement concentrées qu’elles se donnent comme ça ! en toute naïveté.
Quelle joie ce fut de créer cet opus qui prolongeait d’une certaine façon la folie que nous avions approchée de près, mes camarades et moi avec WOLF d’Alain Platel.
C’est auprès de lui que nous nous étions rencontrés Serge-Aimé Coulibaly, Grégory Kamoun et moi-même.
Nous formions un trio infernal, un ménage à trois impossible.
Serge est parti vers d’autres aventures et nous avons continué à écrire l’histoire de ce trio avec Mani Assumani Mungai. C’est un trio joyeux et espiègle qui porte en lui son lot de violences et de non-dits pour nuancer la simplicité de la forme. » RD

Durée : 1h

Générique

Chorégraphie : Raphaëlle Delaunay
Avec : Grégory Kamoun Sonigo, Serge-Aimé Coulibaly puis Mani A. Mungai, Raphaëlle Delaunay

Avec l'aide de l'équipe technique du Quartz
Régie scène et son : Alain L'Helgoualc'h (Quartz)
Création et régie lumière : Érik Houillier, Cyril Leclerc (reprise)
Régie plateau : Johan Floch (Quartz)
Production déléguée : Compagnie Traces / Raphaëlle Delaunay
Coproductions : Le Quartz - Scène nationale de Brest
Avec l’aide de l’ADAMI

La compagnie Traces / Raphaëlle Delaunay est en résidence au Théâtre Louis Aragon, scène conventionnée pour la danse de Tremblay-en-France, dans le cadre du projet « Territoire(s) de la danse 2012 ». À ce titre, La compagnie est soutenue par le Département de la Seine-Saint-Denis.
La Compagnie Traces / Raphaëlle Delaunay est soutenue par le département des Hauts-de-Seine et la ville de Boulogne-Billancourt.

2004

26 février : Festival Les Antipodes, Le Quartz, scène nationale, Brest

9 & 10 mars : 3bisf, Aix-en-Provence
 

2006

Jeux d'intention 2 (reprise)
7, 8, 10 & 11 mars : Le Quartz, scène nationale, Brest
16 mars au 7 avril : Théâtre National de Chaillot - Salle Gémier, Paris
12, 13 & 14 avril : Théâtre des Salins, scène nationale, Martigues

Danser

« La simplicité du thème se conjugue avec l'émotion et le rire. Surtout, on jubile à une virtuosité inventive, insolente, moqueuse, dans un beau mélange de variations à la mode caraïbe (...) »
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